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Lectures parallèles (multi-Bibles)

Livre : Chapitre :

2 Corinthiens 2

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Ostervald 1996Martin 1744Sacy 1759Fillion 1904Crampon 1923Pirot Clamer
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1J'avais donc résolu en moi-même de ne point retourner chez vous, dans la tristesse.Mais j'avais résolu en moi-même de ne revenir point chez vous avec tristesse.JE résolus donc en moi-même, de ne point aller vous voir de nouveau, de peur de vous causer de la tristesse.Je résolus donc en moi-même de ne pas venir vers vous de nouveau dans la tristesse.Je me suis donc promis à moi-même de ne pas retourner chez vous dans la tristesse. Je m'étais donc décidé à ceci : ne pas revenir chez vous dans l'affliction.
2Car si je vous attriste, qui est-ce qui me réjouira, sinon celui que j'aurais moi-même attristé?Car si je vous attriste, qui est-ce qui me réjouira, à moins que ce ne soit celui que j'aurai moi-même affligé ?Car si je vous avais attristés, qui pourrait me réjouir? puisque vous qui devriez le faire, seriez vous-mêmes dans la tristesse que je vous aurais causée.Car, si je vous attriste, qui est-ce qui me réjouira, sinon celui que j'aurai moi-même attristé?Car si moi-même je vous attriste, de qui puis-je attendre de la joie ? N'est-ce pas de celui même que j'aurais affligé ? Car si moi je vous afflige, qui reste-t-il pour me réjouir, si ce n'est celui qui a été affligé par moi ?
3Et je vous ai écrit cela même, afin que quand je serai arrivé, je ne reçoive pas de la tristesse de ceux qui devraient me donner de la joie; car j'ai cette confiance en vous tous, que vous faites tous votre joie de la mienne.Et je vous ai même écrit ceci, afin que quand j'arriverai, je n'aie point de tristesse de la part de ceux de qui je devais recevoir de la joie, m'assurant de vous tous que ma joie est celle de vous tous.C'est aussi ce que je vous avais écrit, afin que venant vers vous, je ne reçusse point tristesse sur tristesse de la part même de ceux qui devaient me donner de la joie; ayant cette confiance en vous tous, que chacun de vous trouvera sa joie dans la mienne.C'est aussi ce que je vous avais écrit, afin que, lorsque je serai arrivé, je n'aie pas tristesse sur tristesse de la part de ceux qui devaient me donner de la joie; car j'ai cette confiance en vous tous, que ma joie est la vôtre à tous.Je vous ai écrit comme je l'ai fait, pour ne pas éprouver, à mon arrivée, de la tristesse de la part de ceux qui devaient me donner de la joie, ayant en vous tous cette confiance, que vous faites tous votre joie de la mienne. Aussi vous ai-je écrit en ces termes, afin qu'en venant, je n'éprouve pas de l'affliction de la part de ceux dont je dois recevoir de la joie, ayant cette assurance en ce qui vous concerne tous, que ma propre joie est la vôtre à tous.
4Car je vous écrivis, dans une grande affliction et le cœur serré de douleur, avec beaucoup de larmes; non pour vous attrister, mais pour vous faire connaître l'affection excessive que j'ai pour vous.car je vous ai écrit dans une grande affliction et angoisse de coeur, avec beaucoup de larmes ; non afin que vous fussiez attristés, mais afin que vous connussiez la charité toute particulière que j'ai pour vous.Et il est vrai que je vous écrivis alors dans une extrême affliction, dans un serrement de coeur, et avec une grande abondance de larmes, non dans le dessein de vous attrister, mais pour vous faire connaître la charité toute particulière que j'ai pour vous.Car je vous ai écrit dans une grand affliction et le coeur serré, avec beaucoup de larmes; non pour que vous fussiez attristés, mais pour que vous sachiez quelle charité surabondante j'ai pour vous.Car c'est dans une grande affliction, dans l'angoisse de mon cœur, et avec beaucoup de larmes, que je vous ai écrit, non dans le dessein de vous attrister, mais pour vous faire connaître l'amour que j'ai pour vous. Car c'est dans un grand trouble, et le cœur tout angoissé que je vous ai écrit, parmi beaucoup de larmes, non pas pour que vous fussiez affligés, mais pour que vous connaissiez l'affection débordante que j'ai pour vous.
5Que si quelqu'un a causé de la tristesse, ce n'est pas moi seul qu'il a attristé, mais c'est vous tous en quelque mesure, pour ne pas exagérer.Que si quelqu'un été cause de cette tristesse, ce n'est pas moi [seul] qu'il a affligé, mais en quelque sorte (afin que je ne le surcharge point) c'est vous tous [qu'il a attristés].Si l'un de vous m'a attristé, il ne m'a pas attristé moi seul, mais vous tous aussi, au moins en quelque sorte: ce que je dis pour ne le point surcharger dans son affliction.Si quelqu'un a été une cause de tristesse, ce n'est moi qu'il a attristé, mais vous tous, en quelque mesure, pour ne pas exagérer.Si quelqu'un a été une cause de tristesse, ce n'est pas moi qu'il a attristé, mais c'est vous tous en quelque sorte, pour ne pas trop le charger. Si quelqu'un a été une cause d'affliction, ce n'est pas moi qu'il a affligé, mais vous tous, du moins une partie, pour ne pas exagérer.
6Il suffit pour un tel homme, d'avoir été châtié par le plus grand nombre,C'est assez pour un tel [homme], de cette censure [qui lui a été faite] par plusieurs.Il suffit pour cet homme, qu'il ait subi la correction et la peine qui lui a été imposée par votre assemblée;Il suffit, pour cet homme-la, de la correction qui lui a été imposée par le plus grand nombre,C'est assez pour cet homme du châtiment qui lui a été infligé par le plus grand nombre, Pour celui-là, le blâme qu'il a reçu de la majorité est un châtiment suffisant ;
7De sorte que vous devez plutôt lui pardonner et le consoler, de peur qu'il ne soit accablé par une trop grande tristesse.De sorte que vous devez plutôt lui faire grâce, et le consoler ; afin qu'un tel homme ne soit point accablé par une trop grande tristesse.et vous devez plutôt le traiter maintenant avec indulgence {Gr. plutôt lui faire grâce.} et le consoler, de peur qu'il ne soit accablé par un excès de tristesse.de sorte que vous devez plutôt lui pardonner et le consoler, de peur que cet homme ne soit accablé par un excès de tristesse.en sorte que vous devez bien plutôt lui faire grâce et le consoler, de peur qu'il ne soit absorbé par une tristesse excessive. de telle sorte que maintenant vous devez plutôt lui faire grâce et le consoler, de peur que cet homme ne soit accablé par l'excès du chagrin.
8C'est pourquoi je vous prie de manifester envers lui votre charité.C'est pourquoi je vous prie de ratifier envers lui votre charité.C'est pourquoi je vous prie de lui donner des preuves effectives de votre charité.C'est pourquoi je vous conjure de redoubler de charité envers lui.Je vous invite donc à prendre envers lui une décision charitable. Aussi je vous engage à prendre une décision charitable à son égard.
9Car c'est aussi pour cela que je vous ai écrit, afin de connaître, en vous mettant à l'épreuve, si vous êtes obéissants en toutes choses.Car c'est aussi pour cela que je vous ai écrit, afin de vous éprouver, et de connaître si vous êtes obéissants en toutes choses.Et c'est pour cela même que je vous en écris, afin de vous éprouver, et de reconnaître si vous êtes obéissants en toutes choses.C'est pour cela aussi que je vous ai écrit, afin de vous éprouver, et de connaître si vous êtes obéissants en toutes choses.Car, en vous écrivant, mon but était aussi de connaître, à l'épreuve, si vous m'obéiriez en toutes choses. En effet, c'est aussi pour cela que je vous avais écrit, afin de savoir en vous mettant à l'épreuve, si vous étiez obéissants en toutes choses.
10Celui donc à qui vous pardonnez, je lui pardonne aussi; (car pour moi ce que j'ai pardonné, si j'ai pardonné, c'est à cause de vous,) en la présence de Christ,Or à celui à qui vous pardonnez quelque chose, je pardonne aussi : car de ma part aussi si j'ai pardonné quelque chose à celui à qui j'ai pardonné, je l'ai fait à cause de vous, devant la face de Christ.Ce que vous accordez à quelqu'un par indulgence, {Gr. par grâce.} je l'accorde aussi. Car si j'use moi-même d'indulgences, j'en use à cause de vous, au nom, et en la personne de Jésus-Christ;Celui donc à qui vous pardonnez, je lui pardonne aussi; car si j'ai moi-même pardonné, je l'ai fait à cause de vous, dans la personne du Christ,A qui vous pardonnez, je pardonne également ; car, pour moi si j'ai pardonné, si tant est que je pardonne quelque chose, c'est à cause de vous, et à la face du Christ, Or, à qui vous pardonnez, je pardonne ; car pour moi, ce que j'ai pardonne - si j'ai eu quelque chose à pardonner, - c'est à cause de vous que je l'ai fait et en présence du Christ,
11Afin que Satan n'ait pas le dessus sur nous; car nous n'ignorons pas ses desseins.Afin que Satan n'ait pas le dessus sur nous : car nous n'ignorons pas ses machinations.afin que Satan n'emporte rien sur nous: car nous n'ignorons pas ses desseins.afin que nous ne soyons point circonvenus par Satan, car nous n'ignorons pas ses desseins.afin de ne pas laisser à Satan l'avantage sur nous ; car nous n'ignorons pas ses desseins. afin que nous ne devenions pas les dupes de Satan ; car ses astuces, nous ne les ignorons pas.
12Or, quand je vins à Troas pour l'Évangile de Christ, quoique le Seigneur m'y eût ouvert une porte,Au reste, étant venu à Troas pour l'Évangile de Christ, quoique la porte m'y fût ouverte par le Seigneur,Or étant venu à Troade pour prêcher l'Evangile de Jésus-Christ, quoique le Seigneur m'y eût ouvert une entrée favorable,Du reste, lorsque je fus arrivé à Troas pour prêcher l'Evangile du Christ, quoique le Seigneur m'y eût ouvert une porte,Lorsque je fus arrivé à Troas pour l'Evangile du Christ, quoiqu'une porte m'y fût ouverte dans le Seigneur, Lors donc de mon arrivée à Troas pour prêcher l'évangile du Christ, bien qu'une porte n’y fût ouverte dans le Seigneur,
13Je n'eus point l'esprit en repos, parce que je n'y trouvai pas Tite, mon frère; c'est pourquoi, ayant pris congé des frères, je vins en Macédoine.Je n'ai pourtant point eu de relâche en mon esprit, parce que je n'ai pas trouvé Tite mon frère ; mais ayant pris congé d'eux, je m'en suis venu en Macédoine.je n'ai point eu l'esprit en repos, parce que je n'y avais point trouvé mon frère Tite. Mais ayant pris congé d'eux, je m'en suis allé en Macédoine.je n'eus point l'esprit en repos, parce que je n'y avais pas trouvé Tite, mon frère; mais, ayant pris congé d'eux, je partis pour la Macédoine.je n'eus point l'esprit en repos, parce que je n'y trouvais pas Tite, mon frère ; c'est pourquoi, ayant pris congé des frères, je partis pour la Macédoine. je n'eus pas de repos d'esprit, parce que je n'y trouvais pas Tite, mon frère ; mais prenant congé d'eux, je partis pour la Macédoine.
14Or, grâces soient rendues à Dieu qui nous fait toujours triompher en Christ, et qui répand par nous l'odeur de sa connaissance en tous lieux.Or grâces [soient rendues] à Dieu, qui nous fait toujours triompher en Christ, et qui manifeste par nous l'odeur de sa connaissance en tous lieux.Je rends grâces à Dieu, qui nous fait toujours triompher en Jésus-Christ, et qui répand par nous en tous lieux l'odeur de la connaissance de son nom.Grâces soient à Dieu, qui nous fait toujours triompher dans le Christ Jésus, et qui répand par nous le parfum de Sa connaissance en tout lieu.Mais grâces soient rendues à Dieu qui nous fait triompher en tout temps dans le Christ, et par nous répand en tout lieu le parfum de sa connaissance ! A Dieu cependant toutes nos actions de grâces, lui, qui partout nous met dans son cortège de triomphe, dans le Christ, et qui répand par nous le parfum de sa connaissance en tous lieux !
15Car nous sommes la bonne odeur de Christ devant Dieu, pour ceux qui sont sauvés et pour ceux qui périssent;Car nous sommes la bonne odeur de Christ [de la part de] Dieu, en ceux qui sont sauvés, et en ceux qui périssent :Car nous sommes devant Dieu la bonne odeur de Jésus-Christ, soit à l'égard de ceux qui se sauvent, soit à l'égard de ceux qui se perdent:Car nous sommes pour Dieu la bonne odeur du Christ, à l'égard de ceux qui sont sauvés, et à l'égard de ceux qui périssent:En effet, nous sommes pour Dieu la bonne odeur du Christ parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui se perdent : Oui, nous sommes pour Dieu la bonne odeur du Christ, parmi ceux qui se sauvent et parmi ceux qui périssent ;
16A ceux-ci, une odeur mortelle, donnant la mort; et à ceux-là, une odeur vivifiante, donnant la vie. Et qui est suffisant pour ces choses?A ceux-ci, une odeur mortelle qui les tue ; et à ceux-là, une odeur vivifiante qui les conduit à la vie. Mais qui est suffisant pour ces choses ?aux uns une odeur de mort qui les fait mourir, et aux autres une odeur de vie qui les fait vivre. Et qui est capable d'un tel ministère?aux uns, une odeur de mort, pour la mort; aux autres, une odeur de vie, pour la vie. Et qui suffira pour cette tâche?aux uns, une odeur de mort, qui donne la mort ; aux autres, une odeur de vie, qui donne la vie. — Et qui donc est capable d'un tel ministère ? aux uns une odeur qui les fait passer de la mort à la mort ; aux autres une odeur qui les fait passer de la vie à la vie. Et de cette tâche, qui en est capable ?
17Car nous ne falsifions point la parole de Dieu, comme beaucoup le font; mais nous parlons avec sincérité, comme de la part de Dieu, devant Dieu, en Christ.Car nous ne falsifions pas la parole de Dieu, comme font plusieurs ; mais nous parlons de Christ avec sincérité, comme de la part de Dieu, et devant Dieu.Car nous ne sommes pas comme plusieurs, qui corrompent la parole de Dieu: mais nous la prêchons avec une entière sincérité, comme de la part de Dieu, en la présence de Dieu, et dans la personne de Jésus- Christ.Car nous ne sommes pas comme plusieurs, qui frelatent la parole de Dieu; mais c'est avec sincérité, comme de la part de Dieu, devant Dieu, dans le Christ, que nous parlons.Car nous ne sommes pas comme la plupart, nous ne frelatons pas la parole de Dieu ; mais c'est dans sa pureté, telle qu'elle vient de Dieu, que nous la prêchons devant Dieu en Jésus-Christ. Nous ne sommes pas, en effet, comme plusieurs qui frelatent la parole de Dieu, mais c'est avec sincérité, mais c'est de par Dieu, c'est face à Dieu, dans le Christ, que nous parlons.
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