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Livre : Chapitre :

Actes 27

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1Après qu'il eut été résolu que nous nous embarquerions pour l'Italie, on confia Paul et quelques autres prisonniers à un centenier nommé Julius, de la cohorte appelée Auguste;Or après qu'il eut été résolu que nous naviguerions en Italie, ils remirent Paul avec quelques autres prisonniers à un nommé Jule, centenier d'une cohorte [de la Légion]appelée Auguste.APRÈS qu'il eut été résolu que Paul irait par mer en Italie, et qu'on le mettrait avec d'autres prisonniers entre les mains d'un nommé Jules, centenier dans une cohorte de la légion appelée Auguste,Lorsqu'il eut été décidé que Paul irait par mer en Italie, et qu'on le remettrait avec d'autres prisonniers au centurion de la cohorte d'Auguste, nommé Jules,Lorsqu'il eut été décidé que nous irions par mer en Italie, on remit Paul et quelques autres prisonniers à un centurion nommé Julius, de la cohorte Augusta. Quand il eut été décidé de nous embarquer pour l'Italie, on confia Paul et quelques autres prisonniers à un centurion de la cohorte d'Augusta, nommé Julius.
2Et étant montés sur un vaisseau d'Adramytte, nous partîmes, devant toucher aux lieux du littoral de l'Asie, ayant avec nous Aristarque, Macédonien de Thessalonique.Et étant montés dans un navire d'Adramite, nous partîmes pour tirer vers les quartiers d'Asie, et Aristarque Macédonien [de la ville] de Thessalonique, était avec nous.nous montâmes sur un vaisseau d'Adrumette, et nous levâmes l'ancre pour aller côtoyer les terres d'Asie; ayant avec nous Aristarque, Macédonien de Thessalonique.étant monté sur un vaisseau d'Adrumète, nous levâmes l'ancre et nous commençâmes à naviguer le long des côtes de l'Asie, ayant toujours avec nous Aristarque, Macédonien de Thessalonique.Nous montâmes sur un vaisseau d'Adramytte qui devait longer les côtes de l'Asie, et nous levâmes l'ancre, ayant avec nous Aristarque, Macédonien de Thessalonique. Nous montâmes sur un navire d'Adramyttium qui devait faire le cabotage le long des côtes d'Asie, et nous gagnâmes le large. Aristarque, un Macédonien de Thessalonique, était avec nous.
3Le jour suivant, nous abordâmes à Sidon; et Julius, traitant Paul avec humanité, lui permit d'aller chez ses amis, pour recevoir leurs soins.Le jour suivant nous arrivâmes à Sidon ; et Jules traitant humainement Paul, lui permit d'aller vers ses amis, afin qu'ils eussent soin de lui.Le jour suivant nous arrivâmes à Sidon; et Jules traitant Paul avec humanité, lui permit d'aller voir ses amis, et de pourvoir lui-même à ses besoins.Le jour suivant nous arrivâmes à Sidon; et Jules, traitant Paul avec humanité, lui permit d'aller chez ses amis et de recevoir leurs soins.Le jour suivant, nous abordâmes à Sidon ; et Julius, qui traitait Paul avec bienveillance, lui permit d'aller chez ses amis et de recevoir leurs soins. Le jour suivant nous abordâmes à Sidon ; Julius qui traitait Paul avec bienveillance, lui permit d'aller chez ses amis et de recevoir leurs soins.
4Puis étant partis de là, nous naviguâmes en dessous de l'île de Cypre, parce que les vents étaient contraires.Puis étant partis de là, nous tînmes notre route au-dessous de Cypre, parce que les vents étaient contraires.Etant partis de là, nous prîmes notre route au-dessous de Cypre, parce que les vents étaient contraires.Etant partis de là, nous naviguâmes au-dessous de l'île de Chypre, parce que les vents étaient contraires.Etant partis de là, nous côtoyâmes l'île de Chypre, parce que les vents étaient contraires. Repartant de là nous longeâmes Chypre, parce que les vents étaient contraires,
5Et après avoir traversé la mer de Cilicie et de Pamphylie, nous abordâmes à Myrrha en Lycie,Et après avoir passé la mer qui est vis-à-vis de la Cilicie et de la Pamphylie, nous vînmes à Myra, [ville] de Lycie,Et après avoir traversé la mer de Cilicie et de Pamphylie, nous arrivâmes à Lystre de Lycie;Puis traversant la mer de Cilicie et de Pamphylie, nous vînmes à Lystres, en Lycie;Après avoir traversé la mer qui baigne la Cilicie et la Pamphylie, nous arrivâmes à Myre, en Lycie. et après avoir navigué à travers la mer qui baigne la Cilicie et la Pamphylie, nous abordâmes à Myre en Lycie.
6Et le centenier y ayant trouvé un vaisseau d'Alexandrie, qui allait en Italie, nous y fit monter.Où le centenier trouva un navire d'Alexandrie qui allait en Italie, dans lequel il nous fit monter.où le centenier ayant trouvé un vaisseau d'Alexandrie, qui faisait voile en Italie, il nous y fit embarquer.et là le centurion, trouvant un vaisseau d'Alexandrie qui faisait voile en Italie, nous y transborda.Le centurion y ayant trouvé un navire d'Alexandrie qui faisait voile pour l'Italie, il nous y fit monter. Le centurion y ayant trouvé un navire d'Alexandrie qui faisait voile vers l'Italie, nous fit monter à bord.
7Et comme pendant plusieurs jours nous avancions fort peu, et que nous n'étions arrivés qu'avec peine vis-à-vis de Gnide, parce que le vent ne nous permettait pas d'avancer, nous naviguâmes en dessous de la Crète, vers Salmone;Et comme nous naviguions pesamment durant plusieurs jours, en sorte qu'à grande peine pûmes-nous arriver jusques à la vue de Guide, parce que le vent ne nous poussait point, nous passâmes au-dessous de Crète, vers Salmone.Nous allâmes fort lentement pendant plusieurs jours, et nous arrivâmes avec grande difficulté vis-à-vis de Gnide; et parce que le vent nous empêchait d'avancer, nous côtoyâmes l'île de Crète, vers Salmone.Pendant plusieurs jours nous naviguâmes lentement, et c'est avec peine que nous arrivâmes vis-à-vis de Gnide, le vent nous empêchant d'avancer; nous cotoyàmes l'île de Crête vers Salmoné.Pendant plusieurs jours nous navigâmes lentement, et ce ne fut pas sans difficulté que nous arrivâmes à la hauteur de Cnide, où le vent ne nous permit pas d'aborder. Nous passâmes au-dessous de l'île de Crète, du côté de Salmoné, Pendant plusieurs jours nous naviguâmes lentement, et nous arrivâmes péniblement dans les parages de Cnide ; comme le vent ne nous permettait point d'aborder, nous longeâmes la Crête dans le voisinage de Salmone,
8Et la côtoyant avec difficulté, nous vînmes dans un lieu appelé Beaux-Ports, près duquel est la ville de Lasée.Et la côtoyant avec peine, nous vînmes en un lieu qui est appelé Beaux-ports, près duquel était la ville de Lasée.Et allant avec peine le long de la côte, nous abordâmes à un lieu nommé Bons-Ports, près duquel était la ville de Thalasse.En longeant la côte avec peine, nous vînmes en un lieu appelé Bons-Ports, près duquel était la ville de Thalassa.et longeant la côte avec peine, nous arrivâmes à un lieu nommé Bons-Ports, près duquel était la ville de Laséa. et après l'avoir côtoyée avec peine, nous parvînmes en un lieu appelé Beaux-Ports, près duquel se trouvait la ville de Lasaia.
9Comme il s'était écoulé beaucoup de temps, et que la navigation devenait dangereuse, puisque le temps du jeûne était déjà passé, Paul les avertit,Et parce qu'il s'était écoulé beaucoup de temps, et que la navigation était déjà périlleuse, vu que même le jeûne était déjà passé, Paul les exhortait,Mais parce que beaucoup de temps s'était écoulé, et que la navigation devenait périlleuse, le temps du jeûne étant déjà passé, Paul donna cet avis à ceux qui nous conduisaient:Mais comme il s'était écoulé beaucoup de temps, et que la navigation n'était déjà plus sûre, car le jeûne même était déjà passé, Paul les avertit,Un temps assez long s'était écoulé et la navigation devenait dangereuse, car l'époque du jeûne était déjà passée. Paul fit des représentations à l'équipage : Un long temps s'écoula et la navigation commençait déjà à devenir périlleuse, parce que l'époque du jeûne était révolue ;
10Et dit: Je vois que la navigation sera accompagnée de périls et de grand dommage, non seulement pour le vaisseau et pour sa charge, mais encore pour nos personnes.En leur disant : hommes, je vois que la navigation sera périlleuse et que nous serons exposés non seulement à la perte de la charge du vaisseau, mais même de nos propres vies.Mes amis, leur dit-il, je vois que la navigation va devenir très-fâcheuse et pleine de péril, non seulement pour le vaisseau et sa charge, mais aussi pour nos personnes et nos vies.en leur disant: Hommes, je vois que la navigation commence à être pénible et pleine de péril, non seulement pour la cargaison et le vaisseau, mais aussi pour nos vies." Mes amis, leur dit-il, je vois que la navigation ne pourra se faire sans danger et sans de graves dommages, non seulement pour la cargaison et le navire, mais encore pour nos personnes. " Paul avertit donc (l'équipage) en ces termes : amis, je vois que la navigation ne pourra se faire sans péril et sans de graves dommages, tant pour la cargaison et le navire que pour nos vies.
11Mais le centenier ajoutait plus de foi au pilote et au maître du vaisseau, qu'à ce que Paul disait.Mais le centenier croyait plus le Pilote, et le maître du navire, que ce que Paul disait.Mais le centenier ajoutait plus de foi aux avis du pilote et du maître du vaisseau, qu'à ce que disait Paul.Mais le centurion ajoutait plus de foi au pilote et au maître du vaisseau qu'à ce que disait Paul.Mais le centurion avait plus de confiance en ce que disait le pilote et le patron du navire, que dans les paroles de Paul. Le centurion se fiait toutefois davantage au pilote et au capitaine du navire qu'aux dires de Paul.
12Et comme le port n'était pas propre pour hiverner, la plupart furent d'avis de partir de là, pour tâcher de gagner Phœnice, port de Crète, qui regarde le vent d'Afrique et le nord-ouest, afin d'y passer l'hiver.Et parce que le port n'était pas propre pour y passer l'hiver, la plupart furent d'avis de partir de là, pour [tâcher] d'aborder à Phénix, qui est un port de Crète, situé contre le vent d'Afrique et du couchant septentrional, afin d'y passer l'hiver.Et comme le port n'était pas propre pour hiverner, la plupart furent d'avis de se remettre en mer, pour tâcher de gagner Phénice, qui est un port de Crète, qui regarde les vents du couchant d'hiver et d'été, afin d'y passer l'hiver.Et comme le port n'était pas bon pour hiverner, la plupart furent d'avis de se remettre en mer, afin de gagner, si on le pouvait, Phénice, port de Crète, qui regarde l'Africus et le Corus, et d'y passer l'hiver.Et comme le port n'était pas bon pour hiverner, la plupart furent d'avis de reprendre la mer et de tâcher d'atteindre, pour y passer l'hiver, Phénice, port de Crète qui regarde l'Africus et le Corus. Comme le port se prêtait mal à un hivernage, la plupart émirent l'avis de lever l'ancre, afin si possible d'atteindre pour y hiverner Phœnicé, un port de la Crête qui regarde vers le Sud-Ouest et le Nord-Ouest.
13Et le vent du midi ayant soufflé doucement, ils se crurent maîtres de leur dessein, et levant l'ancre, ils côtoyèrent de près la Crète.Et le vent du Midi commençant à souffler doucement, ils crurent venir à bout de leur dessein, et étant partis, ils côtoyèrent Crète de plus près.Le vent du midi commençant à souffler doucement, ils pensèrent qu'ils viendraient à bout de leur dessein; et ayant levé l'ancre d'Asson, ils côtoyèrent de près l'île de Crète.Une brise du sud s'étant mise à souffler, croyant pouvoir exécuter leur dessein, ils levèrent l'ancre d'Asson et côtoyèrent la Crète.Un léger vent du sud vint à souffler ; se croyant maîtres d'exécuter leur dessin, ils levèrent l'ancre et rasèrent plus près les côtes de Crète. Comme une légère brise du Sud s'était mise à souffler, s'estimant maîtres d'exécuter leur dessein, ils levèrent l'ancre et serrèrent au plus près la Crête.
14Mais peu après, un vent impétueux, qu'on appelle Euroclydon, se déchaîna contre le rivage.Mais un peu après un vent orageux [du nord-est], qu'on appelle Euroclydon, se leva du côté de l'île.Mais il se leva peu après un vent impétueux d'entre le levant et le nord, qui donnait contre l'île;Mais peu après se déchaîna sur l'île un vent impétueux, qu'on appelle Euroaquilon;Mais bientôt un vent impétueux, nommé Euraquilon, se déchaîna sur l'île. Peu après un vent d’ouragan, nommé Euraquilon, s'abattit sur l'île.
15Le vaisseau fut entraîné, et ne pouvant résister au vent, nous nous laissâmes emporter;Et le navire étant emporté par le vent, de telle sorte qu'il ne pouvait point résister, nous fûmes emportés, ayant abandonné [le navire au vent].et comme il emportait le vaisseau, sans que nous pussions y résister, on le laissa aller au gré du vent.et comme le navire était entraîné et ne pouvait pas résister au vent, le laissant aller au gré de la tempête, nous étions emportés.Le navire fut entraîné, sans pouvoir lutter contre l'ouragan, et nous nous laissâmes aller à la dérive. Le vaisseau fut saisi et ne put tenir tête au vent ; nous abandonnant à la tempête, nous étions emportés à la dérive.
16Et quand nous eûmes passé en dessous d'une petite île, appelée Clauda, nous eûmes de la peine à être maîtres de la chaloupe.Et ayant passé au-dessous d'une petite île, appelée Clauda, à grande peine pûmes-nous être maîtres de l'esquif ;Nous fûmes poussés au-dessous d'une petite île, appelée Caude, où nous pûmes à peine être maîtres de l'esquif.Poussés au-dessous d'une île appelée Cauda, nous pûmes à peine être maîtres de la chaloupe.Nous passâmes rapidement au-dessous d'une petite île, nommée Cauda, et nous eûmes beaucoup de peine à remonter la chaloupe. Comme nous passions sous une petite île nommée Cauda, nous réussîmes à grand peine à nous rendre maîtres de la chaloupe.
17L'ayant retirée, les matelots firent usage de secours, en liant le vaisseau avec des câbles; et craignant d'échouer sur la Syrte ils abaissèrent le mât; et ils étaient emportés ainsi.Mais l'ayant tirée à nous, les [matelots] cherchaient tous les remèdes possibles, en liant le navire par-dessous ; et comme ils craignaient de tomber sur des bancs de sable, ils abattirent les voiles, et ils étaient portés de cette manière.Mais l'ayant enfin tiré à nous, les matelots employèrent toutes sortes de moyens, et lièrent le vaisseau par dessous, craignant d'être jetés sur des bancs de sable; ils abaissèrent le mât, et s'abandonnèrent ainsi à la mer.Après l'avoir hissée, les matelots, se servant de câbles, lièrent le vaisseau, et, dans la crainte d'être jetés sur la Syrte, ils abaissèrent les voiles et nous nous laissâmes ainsi emporter.Quand on l'eut hissée, les matelots, ayant recours à tous les moyens de salut, ceintrèrent le navire, et dans la crainte d'échouer sur la Syrte, ils abattirent la voilure et se laissèrent aller. Celle-ci une fois hissée, on usa des moyens de secours en cintrant le navire, et dans la crainte d'un échouage dans la Syrte, après avoir laissé glisser l'ancre flottante, nous allions à la dérive.
18Comme nous étions fortement battus de la tempête, le jour suivant ils jetèrent la cargaison dans la mer.Or parce que nous étions agités d'une grande tempête, le jour suivant ils jetèrent les marchandises dans la mer.Et comme nous étions rudement battus de la tempête, le jour suivant ils jetèrent les marchandises dans la mer.Et comme nous étions battus par une violente tempête, le jour suivant ils jetèrent la cargaison à la mer;Comme nous étions violemment battus par la tempête, on jeta le lendemain la cargaison à la mer, Comme nous étions violemment ballottés, le jour suivant (les marins) jetèrent une partie de la cargaison ;
19Et le troisième jour, nous jetâmes de nos propres mains les agrès du vaisseau.Puis le troisième jour nous jetâmes de nos propres mains les agrès du navire.Trois jours après, ils y jetèrent aussi de leurs propres mains les agrès du vaisseau.et le troisième jour, de leurs propres mains ils jetèrent les agrès du vaisseau.et le jour suivant nous y lançâmes de nos propres mains les agrès du navire. le troisième jour, de leurs propres mains ils précipitèrent à la mer le gréement du navire.
20Et comme pendant plusieurs jours, ni le soleil, ni les étoiles ne parurent, et que nous étions en butte à une forte tempête, nous perdîmes tout espoir de nous sauver.Et comme il ne nous parut durant plusieurs jours ni soleil ni étoiles, et qu'une grande tempête nous agitait violemment, toute espérance de nous pouvoir sauver à l'avenir nous fut ôtée.Le soleil ni les étoiles ne parurent point durant plusieurs jours; et la tempête était toujours si violente, que nous perdîmes toute espérance de nous sauver.Le soleil et les étoiles ne parurent pas pendant plusieurs jours, et la tempête restant toujours aussi forte, nous perdîmes tout espoir de salut.Pendant plusieurs jours, ni le soleil ni les étoiles ne se montrèrent, et la tempête continuait de sévir avec violence : tout espoir de salut s'était évanoui. Pendant plusieurs jours ni le soleil ni les étoiles ne se montrèrent et la tempête faisait rage avec la même violence, si bien que désormais tout espoir de salut avait disparu pour nous.
21Or il y avait longtemps qu'on n'avait mangé. Alors Paul se levant au milieu d'eux, leur dit: O hommes, il fallait donc me croire, et ne pas partir de Crète, pour éviter cette détresse et ce dommage.Mais après qu'ils eurent été longtemps sans manger, Paul se tenant alors debout au milieu d'eux, leur dit : ô hommes ! certes il fallait me croire, et ne point partir de Crète, afin d'éviter cette tempête et cette perte.Mais parce qu'il y avait longtemps que personne n'avait mangé. Paul se leva au milieu d'eux, et leur dit: Sans doute, mes amis, vous eussiez mieux fait de me croire, et de ne point partir de Crète, pour nous épargner tant de peine et une si grande perte.Il y avait longtemps que personne n'avait mangé; alors Paul, se levant au milieu d'eux, leur dit: Il fallait me croire, ô hommes, ne point partir de Crète, et nous épargner tant de peine et de perte.Depuis longtemps personne n'avait mangé. Paul, se levant alors au milieu d'eux, leur dit : " Vous auriez dû m'écouter, mes amis, ne point partir de Crète, et vous épargner ce péril et ce dommage. Comme on avait été longtemps sans manger, Paul se leva au milieu d'eux et dit : Il fallait, mes amis, m'obéir et ne point partir de Crête, pour vous épargner ce péril et ces pertes.
22Je vous exhorte maintenant à prendre courage, car aucun de vous ne perdra la vie, le vaisseau seul périra.Mais maintenant je vous exhorte d'avoir bon courage : car nul de vous ne perdra la vie, et le navire seul périra.Je vous exhorte néanmoins à avoir bon courage; parce que personne ne périra, et il n'y aura que le vaisseau de perdu.Mais maintenant je vous exhorte à avoir bon courage; car aucun de vous ne périra, seul le vaisseau sera perdu.Cependant je vous exhorte à prendre courage, car aucun de vous ne perdra la vie ; le vaisseau seul sera perdu. Je vous invite maintenant à avoir bon courage ; car aucun d'entre vous ne périra, seul le navire sera perdu.
23Car un ange du Dieu, à qui je suis et que je sers, m'est apparu cette nuit, et m'a dit:Car en cette propre nuit un Ange du Dieu à qui je suis, et lequel je sers, s'est présenté à moi,Car cette nuit même, un ange du Dieu à qui je suis, et que je sers, m'a apparu,Car cette nuit un Ange du Dieu auquel j'appartiens et que je sers, m'est apparu,Cette nuit même un ange de Dieu à qui j'appartiens et que je sers, m'est apparu, En effet, cette nuit même, un ange de Dieu, auquel j'appartiens et que je sers, s'est présenté à moi :
24Paul, ne crains point; il faut que tu comparaisses devant César; et voici, Dieu t'a donné tous ceux qui naviguent avec toi.[Me] disant : Paul, ne crains point, il faut que tu sois présenté à César ; et voici, Dieu t'a donné tous ceux qui naviguent avec toi.et m'a dit: Paul, ne craignez point: il faut que vous comparaissiez devant César; et je vous annonce que Dieu vous a donné tous ceux qui naviguent avec vous.disant: Ne crains pas, Paul; il faut que tu comparaisses devant César, et voici que Dieu t'a donné tous ceux qui naviguent avec toi.et m'a dit : Paul, ne crains point ; il faut que tu comparaisses devant César, et voici que Dieu t'a donné tous ceux qui naviguent avec toi. “Ne crains point, Paul, m'a-t-il dit ; il te faut comparaître devant César, et voici que Dieu t'a accordé (la vie de) tous ceux qui naviguent avec toi.”
25C'est pourquoi, ô hommes, prenez courage; car j'ai cette confiance en Dieu, qu'il en arrivera comme il m'a été dit;C'est pourquoi, ô hommes ! ayez bon courage, car j'ai cette confiance en Dieu que la chose arrivera comme elle m'a été dite.C'est pourquoi, mes amis, ayez bon courage: car j'ai cette confiance en Dieu, que ce qui m'a été dit arrivera.C'est pourquoi, ayez bon courage, ô hommes; car j'ai confiance en Dieu qu'il en sera comme il m'a été dit.Courage donc, mes amis ; car j'ai confiance en Dieu qu'il en sera comme il m'a été dit. Ayez donc bon courage, amis, j'ai confiance en Dieu : il en sera comme il m'a été dit.
26Mais il faut que nous échouions sur quelque île.Mais il faut que nous soyons jetés contre quelque île.Mais nous devons être jetés contre une certaine île.Mais il faut que nous soyons jetés sur quelque île.Nous devons échouer sur une île. " Mais nous devons échouer sur une île.
27Comme la quatorzième nuit était venue, et que nous étions portés çà et là dans l'Adriatique, les matelots, vers minuit, estimèrent qu'ils approchaient de quelque terre.Quand donc la quatorzième nuit fut venue, comme nous étions portés çà et là sur la mer Adriatique, les matelots eurent opinion environ sur le minuit qu'ils approchaient de quelque contrée.La quatorzième nuit, comme nous naviguions sur la mer Adriatique, les matelots crurent vers le minuit, qu'ils approchaient de quelque terre.Lorsque fut venue la quatorzième nuit, comme nous naviguions dans l'Adriatique, vers le milieu de la nuit, les matelots crurent que quelque terre leur apparaissait.La quatorzième nuit, comme nous étions ballottés dans l'Adriatique, les matelots soupçonnèrent, vers le milieu de la nuit, qu'on approchait de quelque terre. C'était la quatorzième nuit, nous étions ballottés sur l'Adriatique. Vers le milieu de la nuit, les matelots soupçonnèrent l'approche d'une terre.
28Et ayant jeté la sonde, ils trouvèrent vingt brasses. A quelque distance de là, ayant jeté la sonde de nouveau, ils trouvèrent quinze brasses.Et ayant jeté la sonde, ils trouvèrent vingt brasses ; puis étant passés un peu plus loin, et ayant encore jeté la sonde, ils trouvèrent quinze brasses.Et ayant jeté la sonde, ils trouvèrent vingt brasses; et un peu plus loin, ils n'en trouvèrent que quinze.Et ayant jeté la sonde, ils trouvèrent vingt brasses; et un peu plus loin, ils trouvèrent quinze brasses.Jetant aussitôt la sonde, ils trouvèrent vingt brasses ; un peu plus loin, il la jetèrent de nouveau, et en trouvèrent quinze. Après avoir jeté la sonde, ils trouvèrent vingt brasses ; en avançant un peu, ils jetèrent à nouveau la sonde et trouvèrent quinze brasses ;
29Et craignant d'échouer contre des écueils, ils jetèrent quatre ancres de la poupe, et ils désiraient que le jour vînt.Mais craignant de donner contre quelque écueil, ils jetèrent quatre ancres de la poupe, désirant que le jour vînt.Alors craignant que nous n'allassions donner contre quelque écueil, ils jetèrent quatre ancres de la poupe, et ils attendaient avec impatience que le jour vînt.Alors craignant de tomber contre des écueils, ils jetèrent quatre ancres de la poupe, et ils désiraient qu'il fît jour.Dans la crainte de heurter contre des récifs, ils jetèrent quatre ancres de la poupe, et attendirent le jour avec impatience. alors, dans la crainte d'être drossés quelque part sur des récifs, ils jetèrent de la poupe quatre ancres, souhaitant la venue du jour.
30Et comme les matelots cherchaient à se sauver du vaisseau, et qu'ils avaient descendu la chaloupe à la mer, sous prétexte de jeter les ancres de la proue,Et comme les matelots cherchaient à s'enfuir du navire, ayant descendu l'esquif en mer, sous prétexte d'aller porter loin les ancres du côté de la proue,Or, comme les matelots cherchaient à s'enfuir du vaisseau, et qu'ils descendaient l'esquif en mer, sous prétexte d'aller jeter des ancres du côté de la proue,Or comme les matelots, cherchant à fuir, avaient mis la chaloupe à la mer, sous prétexte d'aller jeter des ancres du côté de la proue,Mais comme les matelots cherchaient à s'échapper du navire, et que déjà, sous prétexte d'aller jeter des ancres du côté de la proue, ils avaient mis la chaloupe à flot, Comme les matelots cherchaient à fuir du navire et avaient descendu la chaloupe sous prétexte d'élonger les ancres de la proue,
31Paul dit au centenier et aux soldats: S'ils ne demeurent dans le vaisseau, vous ne pouvez être sauvés.Paul dit au centenier et aux soldats : si ceux-ci ne demeurent dans le navire, vous ne pouvez point vous sauver.Paul dit au centenier et aux soldats: Si ces gens-ci ne demeurent dans le vaisseau, vous ne pouvez vous sauver.Paul dit au centurion et aux soldats: Si ces hommes ne restent pas sur le vaisseau, vous ne pouvez être sauvés.Paul dit au centurion et aux soldats : " Si ces hommes ne restent pas dans le navire, vous êtes tous perdus. " Paul dit au centurion et aux soldats : Si ces hommes ne restent pas à bord, il n'y a pas de salut possible pour vous.
32Alors les soldats coupèrent les cordes de la chaloupe, et la laissèrent tomber.Alors les soldats coupèrent les cordes de l'esquif, et le laissèrent tomber.Alors les soldats coupèrent les câbles de l'esquif, et le laissèrent tomber.Alors les soldats coupèrent les câbles de la chaloupe, et la laissèrent tomber.Alors les soldats coupèrent les amarres de la chaloupe, et la laissèrent tomber. Les soldats coupèrent alors les cordages de la chaloupe et la laissèrent tomber.
33Et en attendant que le jour vînt, Paul les exhorta tous à prendre de la nourriture, en disant: C'est aujourd'hui le quatorzième jour que, en attendant, vous êtes sans manger, et vous n'avez rien pris.Et jusqu'à ce que le jour vînt, Paul les exhorta tous de prendre quelque nourriture, en leur disant : c'est aujourd'hui le quatorzième jour qu'en attendant, vous êtes demeurés à jeun, et n'avez rien pris ;Sur le point du jour, Paul les exhorta tous à prendre de la nourriture, en leur disant: Il y a aujourd'hui quatorze jours que vous êtes à jeun, et que vous n'avez rien pris, en attendant la fin, de la tempête.Lorsque le jour commençait â poindre, Paul les exhorta tous â prendre de la nourriture, en disant: C'est aujourd'hui le quatorzième jour que vous êtes dans l'attente, à jeun et ne prenant rien;En attendant le jour, Paul exhorta tout le monde à prendre de la nourriture : " Voici, leur dit-il, le quatorzième jour que, remplis d'anxiété, vous restez à jeun sans rien prendre. En attendant le point du jour, Paul les exhorta tous à prendre quelque nourriture : Voilà, leur dit-il, aujourd'hui quatorze jours que vous attendez et restez à jeun, sans rien manger.
34Je vous exhorte donc à prendre de la nourriture, car cela importe à votre conservation; et il ne tombera pas un cheveu de la tête d'aucun de vous.Je vous exhorte donc à prendre quelque nourriture, vu que cela est nécessaire pour votre conservation : car il ne tombera pas un cheveu de la tête d'aucun de vous.C'est pourquoi je vous exhorte à prendre de la nourriture pour pouvoir vous sauver: car il ne tombera pas un seul cheveu de la tête d'aucun de vous.c'est pourquoi je vous invite à prendre de la nourriture, pour votre salut, car il ne se perdra pas un cheveu de la tête d'aucun de vous.Je vous engage donc à manger, car cela importe à votre salut ; aucun de vous ne perdra un cheveu de sa tête. " Je vous engage donc à prendre quelque nourriture ; c'est nécessaire pour votre salut. Aucun d'entre vous en effet, ne perdra un seul cheveu de sa tête.
35Ayant dit cela, il prit du pain, et rendit grâces à Dieu en présence de tous; et l'ayant rompu, il se mit à manger.Et quand il eut dit ces choses, il prit du pain, et rendit grâces à Dieu en présence de tous, et l'ayant rompu il commença a manger.Après avoir dit cela, il prit du pain, et ayant rendu grâces à Dieu devant tous, il le rompit, et commença à manger.Lorsqu'il eut dit cela, prenant du pain, il rendit grâces à Dieu en présence de tous; puis il le rompit et commença à manger.Ayant ainsi parlé, il prit du pain, et après avoir rendu grâces à Dieu devant tous, il le rompit et se mit à manger. Ayant ainsi parlé, il prit du pain, rendit grâces à Dieu devant tous, et le rompant, se mit à manger.
36Tous alors, ayant pris courage, mangèrent aussi.Alors ayant tous pris courage, ils commencèrent aussi à manger.Tous les autres prirent courage à son exemple, et se mirent aussi à manger.Et tous, rendus plus courageux, prirent aussi de la nourriture.Et tous, reprenant courage, mangèrent aussi. Tous reprirent courage et mangèrent eux aussi.
37Or, nous étions en tout, dans le vaisseau, deux cent soixante-seize personnes.Or nous étions en tout dans le navire deux cent soixante-seize personnes.Or nous étions dans le vaisseau deux cent soixante et seize personnes en tout.Or nous étions en tout dans le vaisseau deux cent soixante-seize personnes.Nous étions en tout, sur le bâtiment, deux cent soixante-seize personnes. Nous étions en tout deux cent soixante-seize personnes à bord.
38Et quand ils eurent mangé suffisamment, ils allégèrent le vaisseau en jetant le blé à la mer.Et quand ils eurent mangé jusqu'à être rassasiés, ils allégèrent le navire, en jetant le blé dans la mer.Quand ils furent rassasiés, ils soulagèrent le vaisseau en jetant le blé dans la mer.Quand ils furent rassasiés, ils allégèrent le vaisseau, en jetant le blé dans la mer.Quand ils eurent mangés suffisamment, ils allégèrent le navire en jetant les provisions à la mer. Lorsqu'on fut rassasié, on allégea le navire en jetant le blé à la mer.
39Et le jour étant venu, ils ne reconnaissaient point la terre; mais ayant aperçu un golfe qui avait une plage, ils résolurent d'y faire échouer le vaisseau, s'ils le pouvaient.Et le jour étant venu ils ne reconnaissaient point le pays ; mais ils aperçurent un golfe ayant rivage, et ils résolurent d'y faire échouer le navire, s'il leur était possible.Le jour étant venu, ils ne reconnurent point quelle terre c'était; mais ils aperçurent un golfe où il y avait un rivage, et ils résolurent d'y faire échouer le vaisseau, s'ils pouvaient.Lorsque le jour fut venu, ils ne reconnurent point la terre; mais ils aperçurent un golfe ayant une plage, et ils résolurent d'y pousser le vaisseau, s'ils le pouvaient.Le jour étant venu, ils ne reconnurent pas la côte ; mais ayant aperçu une baie qui avait une plage de sable, ils résolurent de faire échouer le navire, s'ils le pouvaient. Quand le jour vint, ils ne reconnurent pas la terre de Malte, mais ils distinguèrent une baie avec une plage, sur laquelle ils projetèrent, si possible, d'échouer le navire.
40Ayant donc coupé les ancres, ils les laissèrent dans la mer, lâchant en même temps les attaches des gouvernails; et ayant mis au vent la voile de l'artimon, ils se dirigeaient vers le rivage.C'est pourquoi ayant retiré les ancres, ils abandonnèrent le navire à la mer, lâchant en même temps les attaches des gouvernails ; et ayant tendu la voile de l'artimon, ils tirèrent vers le rivage.Ils retirèrent les ancres, et lâchèrent en même temps les attaches des gouvernails; et s'abandonnant à la mer, après avoir mis la voile de l'artimon au vent, ils tiraient vers le rivage.Après avoir levé les ancres et lâché en même temps les attaches des gouvernails, ils s'abandonnèrent à la mer, et ayant mis la voile de misaine au vent, ils se dirigeaient vers le rivage.On coupa donc les amarres des ancres, qu'on abandonna à la mer ; on lâcha en même temps les attaches des gouvernails, on mit au vent la voile d'artimon et on se dirigea vers la plage. Alors ils détachèrent les ancres qu'ils laissèrent tomber à la mer, en même temps ils relâchèrent les attaches des gouvernails, et, après avoir hissé à la brise qui soufflait la voile d'artimon, ils se laissèrent porter vers la plage.
41Et rencontrant un endroit qui avait la mer des deux côtés, le vaisseau y échoua, et la proue engagée avec force, demeurait immobile, mais la poupe se rompait par la violence des vagues.Mais étant tombés en un lieu où deux courants se rencontraient, ils y heurtèrent le navire, et la proue s'y étant enfoncée demeurait ferme, mais la poupe se rompait par la violence des vagues.Mais ayant rencontré une langue de terre qui avait la mer des deux côtés, ils y firent échouer le vaisseau; et la proue s'y étant enfoncée, demeurait immobile; mais la poupe se rompait par la violence des vagues.Et comme nous étions tombés sur une langue de terre qui avait la mer des deux côtés, ils y firent échouer le vaisseau; et la proue, s'y étant enfoncée, demeurait immobile, mais la poupe se rompait par la violence des vagues.Mais ayant touché sur une langue de terre, ils y échouèrent ; la proue s'enfonça et resta immobile, tandis que la poupe se disloquait sous la violence des vagues. Mais ayant donne sur un haut fond ils y échouèrent la nef, la proue fortement fixée demeurait immobile, tandis que la poupe se rompait sous la violence des vagues.
42Alors les soldats furent d'avis de tuer les prisonniers, de peur que quelqu'un d'eux ne se sauvât à la nage.Alors le conseil des soldats fut de tuer les prisonniers, de peur que quelqu'un s'étant sauvé à la nage, ne s'enfuît.Les soldats étaient d'avis de tuer les prisonniers; de peur que quelqu'un d'eux s'étant sauvé à la nage, ne s'enfuît.Les soldats furent d'avis de tuer les prisonniers, de peur que quelqu'un d'eux ne s'enfuît en nageant.Les soldats furent d'avis de tuer les prisonniers, de peur que quelqu'un d'entre eux ne s'échappât à la nage. Les soldats étaient d'avis de tuer les prisonniers dans la crainte que quelqu'un ne s'enfuit à la nage ;
43Mais le centenier, voulant sauver Paul, les détourna de ce dessein, et ordonna à tous ceux qui savaient nager de se jeter à l'eau les premiers, et de se sauver à terre;Mais le centenier voulant sauver Paul, les empêcha [d'exécuter] ce conseil, et il commanda que ceux qui pourraient nager se jetassent dehors les premiers, et se sauvassent à terre ;Mais le centenier les en empêcha, parce qu'il voulait conserver Paul; et il commanda que ceux qui pouvaient nager, se jetassent les premiers hors du vaisseau, et se sauvassent à terre.Mais le centurion, qui voulait sauver Paul, les en empêcha, et il ordonna à ceux qui pouvaient nager de se jeter à l'eau les premiers, et de s'échapper en gagnant la terre.Mais le centurion, qui voulait sauver Paul, les empêcha d'exécuter leur dessein. Il ordonna à ceux qui savaient nager de se jeter à l'eau les premiers et de gagner la terre, mais le Centurion, qui voulait sauver Paul, s'opposa à leur destin ; il ordonna à ceux qui pouvaient nager de se jeter les premiers à l'eau et de gagner la terre,
44Et aux autres de se mettre, les uns sur des planches, les autres sur quelque pièce du vaisseau. Il arriva ainsi que tous se sauvèrent à terre.Et le reste, les uns sur des planches, et les autres sur quelques [pièces] du navire ; et ainsi il arriva que tous se sauvèrent à terre.Les autres se mirent sur des planches, ou sur des pièces du vaisseau. Et ainsi ils gagnèrent tous la terre, et se sauvèrent.On porta les autres sur des planches, et quelqu'uns sur des débris du vaisseau. Et ainsi il arriva que tous parvinrent à terre sains et saufs.et aux autres de se mettre sur des planches ou sur des débris du vaisseau. Et ainsi tous atteignirent le rivage sains et saufs. et aux autres d'utiliser qui des planches, qui (les épaules des marins) du navire. C'est ainsi que tous parvinrent sains et saufs à la terre.
Ostervald 1996Martin 1744Sacy 1759Fillion 1904Crampon 1923Pirot Clamer
Traduit depuis le Texte Reçu Grec — Bible Protestante Traduit depuis le Texte Reçu Grec — Bible Protestante Traduit depuis la Vulgate Latine — Bible Catholique Traduit depuis la Vulgate Latine — Bible Catholique approuvée par l'Église Traduit depuis la Vulgate Latine — Bible Catholique approuvée par l'Église Traduit depuis le Texte Alexandrin — Bible Catholique approuvée par l'Église
    

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