n° | Ostervald 1996 | Martin 1744 | Sacy 1759 | Fillion 1904 | Crampon 1923 | Pirot Clamer |
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1 | Ayant donc, bien-aimés, de telles promesses, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l'esprit, achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu. | Or donc [mes] bien-aimés, puisque nous avons de telles promesses, nettoyons-nous de toute souillure de la chair et de l'esprit perfectionnant la sanctification en la crainte de Dieu. | AYANT donc reçu de Dieu de telles promesses, mes chers frères, purifions-nous de tout ce qui souille le corps ou l'esprit, achevant l'oeuvre de notre sanctification dans la crainte de Dieu. | Ayant donc, mes bien-aimés, de telles promesses, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l'esprit, achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu. | Ayant donc de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l'esprit, et achevons l'œuvre de notre sainteté dans la crainte de Dieu. | Etant donc en possession de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l'esprit, achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu. |
2 | Recevez-nous, nous n'avons fait tort à personne; nous n'avons nui à personne; nous n'avons trompé personne. | Recevez-nous, nous n'avons fait tort à personne, nous n'avons corrompu personne, nous n'avons pillé personne. | Donnez-nous place dans votre coeur. Nous n'avons fait tort à personne; nous n'avons corrompu l'esprit de personne; nous n'avons pris le bien de personne. | Accueillez-nous. Nous n'avons fait tort à personne, nous n'avons nui à personne, nous n'avons exploité personne. | Recevez-nous. Nous n'avons fait de tort à personne, nous n'avons ruiné personne, nous n'avons exploité personne. | Faites-nous place dans vos cœurs ! Nous n'avons fait tort à personne, nous n'avons ruiné personne, nous n'avons exploité personne. |
3 | Je ne dis pas cela pour vous condamner; car j'ai déjà dit que vous êtes dans nos cœurs, pour mourir ensemble et pour vivre ensemble. | Je ne dis point ceci pour vous condamner : car je vous ai déjà dit que vous êtes dans nos coeurs à mourir et à vivre ensemble. | Je ne vous dis pas ceci pour vous condamner; puisque je vous ai déjà dit que vous êtes dans mon coeur à la mort et à la vie. | Je ne dis pas cela pour vous condamner, car j'ai déjà dit que vous êtes dans nos coeurs à la mort et à la vie. | Ce n'est pas pour vous condamner que je dis cela, car je viens de le dire : vous êtes dans nos cœurs à la mort et à la vie. | En parlant ainsi, je n'entends pas vous condamner, puisque je viens de dire que vous êtes dans mon cœur à la vie et à la mort. |
4 | J'ai une grande assurance avec vous; j'ai grand sujet de me glorifier de vous; je suis rempli de consolation; je suis comblé de joie dans toutes nos afflictions. | J'ai une grande liberté envers vous, j'ai grand sujet de me glorifier de vous ; je suis rempli de consolation, je suis plein de joie dans toute notre affliction. | Je vous parle avec grande liberté; j'ai grand sujet de me glorifier de vous; je suis rempli de consolation, je suis comblé de joie parmi toutes mes souffrances. | J'ai une grande confiance en vous, je me glorifie beaucoup de vous; je suis rempli de consolation, je surabonde de joie parmi toutes nos tribulations. | Je vous parle en toute franchise, j'ai grand sujet de me glorifier de vous ; je suis rempli de consolation, je surabonde de joie au milieu de toutes nos tribulations. | J'ai grande confiance en vous ; je suis très fier de vous. Je suis rempli de consolation ; ma joie excède toutes nos tribulations. |
5 | Car, lorsque nous sommes arrivés en Macédoine, notre chair n'a eu aucun repos, au contraire, nous avons été affligés en toutes manières, par des combats au-dehors, et des craintes au-dedans. | Car après être venus en Macédoine, notre chair n'a eu aucun relâche, mais nous avons été affligés en toutes manières ; [ayant eu] des combats au dehors, et des craintes au dedans. | Car étant venus en Macédoine, nous n'avons eu aucun relâche selon la chair, mais nous avons toujours eu à souffrir. Ce n'a été que combats au dehors, et que frayeurs au dedans. | En effet, à notre arrivè en Macédoine, notre chair n'au eu aucun repos, mais nous avons souffert toute sorte de tribualtions: au dehors des combats, au dedans des craintes. | Car, depuis notre arrivée en Macédoine, notre chair n'eut aucun repos ; nous étions affligés de toute manière : au dehors des combats, au dedans des craintes. | Car, de fait, à notre arrivée en Macédoine, notre chair ne connut aucun repos. Tout n'était qu'affliction : au dehors des luttes, au dedans des craintes. |
6 | Mais Dieu, qui console ceux qui sont abattus, nous a consolés par l'arrivée de Tite; | Mais Dieu qui console les abattus, nous a consolés par la venue de Tite. | Mais Dieu, qui console les humbles et les affligés, nous a consolés par l'arrivée de Tite; | Mais Celui qui console les humbles, Dieu nous a consolés par l'arrivée de Tite; | Mais celui qui console les humbles, Dieu, nous a consolés par l'arrivée de Tite ; | Mais Dieu qui console ceux qui sont abattus, nous a consolés par la venue de Tite ; |
7 | Et non seulement par son arrivée, mais aussi par la consolation qu'il a reçue de vous, nous ayant raconté votre ardent désir, vos larmes, votre zèle pour moi; en sorte que ma joie en a été augmentée. | Et non seulement par sa venue, mais aussi par la consolation qu'il a reçue de vous ; car il nous a raconté votre grand désir, vos larmes, votre affection ardente envers moi ; de sorte que je m'en suis extrêmement réjoui. | et non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation qu'il a lui-même reçue de vous; m'ayant rapporté l'extrême désir que vous avez de me revoir, la douleur que vous avez ressentie, et l'ardente affection que vous me portez: ce qui m'a été un plus grand sujet de joie. | et non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation qu'il a reçue de vous; car il m'a raconté votre désir, vos pleurs, votre zèle pour moi, de sorte que ma joie a été plus grande. | non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation que Tite lui-même avait éprouvée à votre sujet : il nous a raconté votre ardent désir, vos larmes, votre amour jaloux pour moi, de sorte que ma joie en a été plus grande. | et non seulement par sa venue, mais encore par la consolation dont lui-même a été personnellement rempli à votre sujet ; il nous a raconté votre ardent désir, votre chagrin, votre zèle à mon égard, si bien que dans mon cœur, la joie a prévalu. |
8 | Car, bien que je vous aie attristés par ma lettre, je ne m'en repens pas, si même je m'en suis repenti, parce que je vois que cette lettre vous a attristés, bien que pour un peu de temps. | Car bien que je vous aie attristés par mon Epître, je ne m'en repens point, quoique je m'en fusse [déjà] repenti, parce que je vois que si cette Epître vous a affligés, ce n'a été que pour peu de temps. | Car encore que je vous aie attristés par ma lettre, je n'en suis plus fâché néanmoins, quoique je l'aie été auparavant, en voyant qu'elle vous avait attristés pour un peu de temps. | En effet, bien que je vous aie attristés par ma lettre, je ne le regrette pas; et si j'en ai eu du regret, en voyant que cette lettre vous avait attristés, quoique pour peu de temps, | Ainsi, quoique je vous aie attristés par ma lettre, je ne le regrette plus, bien que je l'aie d'abord regretté, — car je vois que cette lettre vous a attristés, ne fût-ce que pour un moment, — | Ainsi, quoique je vous aie attristés par ma lettre ; je n'en ai pas de regret ; et si je l'ai d'abord regretté - je vois bien que cette lettre-là vous a fait de la peine sur le moment - , |
9 | Maintenant je me réjouis, non de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la repentance; car vous avez été attristés selon Dieu, en sorte que vous n'avez reçu aucun dommage de notre part. | Je me réjouis [donc] maintenant, non de ce que vous avez été affligés, mais de ce que vous avez été attristés à repentance ; car vous avez été attristés selon Dieu, de sorte que vous n'avez reçu aucun dommage de notre part. | Mais maintenant j'ai de la joie, non de ce que vous avez eu de la tristesse, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la pénitence. {Gr. repentance.} La tristesse que vous avez eue a été selon Dieu; et ainsi la peine que nous vous avons causée, ne vous a été nullement désavantageuse. | maintenant j'ai de la joie, non de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la pénitence. Vous avez été attristés selon Dieu, en sorte que vous n'avez reçu de nous aucun dommage. | je me réjouis à cette heure, non pas de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la pénitence ; car vous avez été attristés selon Dieu, de manière à n'éprouver aucun préjudice de notre part. | maintenant, je me réjouis, non pas de ce que vous ayez éprouvé de la peine, mais de ce que vous ayez éprouvé de la peine jusqu'à vous repentir ; car vous avez été affligés selon Dieu, si bien que Vous n'avez subi de notre fait aucun dommage. |
10 | Car la tristesse qui est selon Dieu, produit une repentance à salut, et dont on ne se repent jamais; au lieu que la tristesse du monde produit la mort. | Puisque la tristesse qui est selon Dieu, produit une repentance à salut, dont on ne se repent jamais ; mais la tristesse de ce monde produit la mort. | Car la tristesse qui est selon Dieu, produit pour le salut une pénitence {Gr. repentance.} stable; mais la tristesse de ce monde produit la mort. | Car la tristesse qui est selon Dieu produit pour le salut une pénitence stable; mais la tristesse du siècle produit la mort. | En effet, la tristesse selon Dieu produit un repentir salutaire, qu'on ne regrette jamais, au lieu que la tristesse du monde produit la mort. | La tristesse qui est selon Dieu, en effet, produit une repentance pour le salut qu'on ne regrette pas ; la tristesse du monde au contraire cause la mort. |
11 | Car voici, cette même tristesse selon Dieu, quel empressement n'a-t-elle pas produit en vous! Quelles excuses, quelle indignation, quelle crainte, quels désirs, quel zèle, quelle punition! Vous avez montré à tous égards que vous êtes purs dans cette affaire. | Car voici, cela même que vous avez été attristés selon Dieu, quel soin n'a-t-il pas produit en vous ? quelle satisfaction ? quelle indignation ? quelle crainte ? quel grand désir ? quel zèle ? quelle vengeance ? vous vous êtes montrés de toutes manières purs dans cette affaire. | Considérez combien cette tristesse selon Dieu, que vous avez ressentie a produit en vous non seulement de soin et de vigilance, mais de satisfaction envers nous, d'indignation contre cet incestueux, de crainte de la colère de Dieu, de désir de nous revoir, de zèle pour nous défendre, d'ardeur à venger ce crime. Vous avez fait voir par toute votre conduite, que vous étiez purs et irréprochables dans cette affaire. | Voyez, en effet: votre tristesse selon Dieu, quel empressement elle a produit en vous; bien plus, quelles excuses, quelle indignation, quelle crainte, quel désir, quel zèle, quelle vengeance! De toutes façons, vous avez montré que vous étiez purs dans cette affaire. | Et quel empressement n'a-t-elle pas produit en vous, cette tristesse selon Dieu ! Que dis-je ? quelle justification ! quelle indignation ! quelle crainte ! quel désir ardent ! quel zèle ! quelle sévérité ! Vous avez montré à tous égards que vous étiez innocents dans cette affaire. | Voyez plutôt ! Cette tristesse même éprouvée selon Dieu, quel empressement elle a produit en vous ! Que dis-je ! Quel souci de vous disculper ! Quelle indignation ! Quelle crainte ! Quel désir ardent ! Quel zèle ! Quel châtiment ! Vous avez montré de toutes manières que vous étiez innocents dans cette affaire. |
12 | Ainsi, lorsque je vous ai écrit, ce n'a pas été à cause de celui qui a fait l'injure, ni à cause de celui à qui elle a été faite, mais pour vous faire connaître notre zèle pour vous devant Dieu. | Quoi que je vous aie donc écrit, ce n'a point été à cause de celui qui a commis la faute, ni à cause de celui envers qui elle a été commise, mais pour faire voir parmi vous le soin que j'ai de vous devant Dieu. | Aussi lorsque nous vous avons écrit, ce n'a été ni à cause de celui qui avait fait l'injure, ni à cause de celui qui l'avait soufferte, mais pour vous faire connaître le soin que nous avons de vous devant Dieu. | Si donc je vous ai écrit, ce n'a été ni à cause de celui qui a fait l'injure, ni à cause de celui qui l'a soufferte, mais pour manifester la sollicitude que nous avons pour vous | Aussi bien, si je vous ai écrit, ce n'est ni à cause de celui qui a fait l'injure, ni à cause de celui qui l'a reçue, mais pour que votre dévouement pour nous éclatât parmi vous devant Dieu. | Vous voyez donc que si je vous ai écrit, ce n'était ni à cause de l'offenseur ni à cause de l'offensé ; mais afin que l'empressement que vous avez pour nous eût l'occasion de se manifester parmi vous devant Dieu. |
13 | C'est pourquoi votre consolation nous a consolés; mais nous avons été encore plus réjouis par la joie de Tite, car son esprit a été restauré par vous tous; | C'est pourquoi nous avons été consolés de ce que vous avez fait pour notre consolation ; mais nous nous sommes encore plus réjouis de la joie qu'a eu Tite, en ce que son esprit a été recréé par vous tous. | C'est pourquoi ce que vous avez fait pour nous consoler, nous a en effet consolés; et notre joie s'est encore beaucoup augmentée par celle de Tite, voyant que vous avez tous contribué au repos de son esprit; | devant Dieu. C'est pourquoi nous avons été consolés. Mais, dans notre consolation, nous avons été encore plus réjouis par la joie de Tite, parce que son esprit a été soulagé par vous tous. | Voilà ce qui nous a consolés. Mais à cette consolation, s'est ajoutée une joie beaucoup plus vive, celle que nous a fait éprouver la joie de Tite, dont vous avez tranquillisé l'esprit. | Voilà comment nous avons été consolés. D'ailleurs, outre cette consolation personnelle, nous avons éprouvé une joie bien plus vive encore, en voyant la joie même de Tite, parce que son esprit a été tranquillisé par vous tous. |
14 | Et si je me suis glorifié de vous devant lui en quelque chose, je n'en ai point eu de confusion; mais comme nous avons dit toutes choses avec vérité, ainsi ce dont nous nous sommes glorifiés auprès de Tite, s'est trouvé la vérité. | Parce que si en quelque chose je me suis glorifié de vous dans ce que je lui en [ai dit], je n'en ai point eu de confusion ; mais comme nous vous avons dit toutes choses selon la vérité, ainsi ce dont je m'étais glorifié [de vous dans ce que j'en ai dit] à Tite, s'est trouvé être la vérité même. | et que si je me suis loué de vous en lui parlant, je n'ai point eu sujet d'en rougir; mais qu'ainsi que nous ne vous avions rien dit que dans la vérité, aussi le témoignage avantageux que nous avions rendu de vous à Tite, s'est trouvé conforme à la vérité. | Et si je me suis glorifié de vous devant lui, en quelque chose, je n'en ai pas eu de confusion; mais comme nous vous avons dit toutes choses selon la vérité, de même, ce dont nous nous sommes gloirifé auprès de Tite s'est trouvé être la vérité. | Et si devant lui je me suis un peu glorifié à votre sujet, je n'en ai point eu de confusion ; mais de même que nous vous avons toujours parlé selon la vérité, de même l'éloge que j'ai fait de vous à Tite s'est trouvé être la vérité. | Que si devant lui, j'ai montré quelque fierté à votre sujet, je n'ai pas en à en rougir ; au contraire, de même qu'en toutes choses je vous ai dit la vérité, de même ce qui avait motivé notre fierté auprès de Tite s'est trouvé être la vérité. |
15 | Aussi quand il se souvient de l'obéissance de vous tous, et comment vous l'avez reçu avec crainte et tremblement, son affection pour vous en devient plus grande. | C'est pourquoi quand il se souvient de l'obéissance de vous tous, et comment vous l'avez reçu avec crainte et tremblement ; son affection pour vous en est beaucoup plus grande. | C'est pourquoi il ressent dans ses entrailles un redoublement d'affection envers vous, lorsqu'il se souvient de l'obéissance que vous lui avez tous rendue, et comment vous l'avez reçu avec crainte et tremblement. | Aussi ressent-il dans ses entrailles un redoublement d'affection envers vous, se souvenant de votre obéissance à tous, de l'accueil que vous lui avez fait avec crainte et tremblement. | Son cœur ressent pour vous un redoublement d'affection, au souvenir de votre obéissance à tous, de la crainte, du tremblement avec lequel vous l'avez accueilli. | Son cœur vous est plus attaché encore lorsqu'il se rappelle votre obéissance à tous, comment vous l'avez reçu avec crainte et en tremblant. |
16 | Je me réjouis donc de ce qu'en toutes choses j'ai confiance en vous. | Je me réjouis donc de ce qu'en toutes choses je me puis assurer de vous. | Je me réjouis donc de ce que je puis me promettre tout de vous. | Je me réjouis de ce qu'en toutes choses je puis me confier en vous. | Je suis heureux de pouvoir en toutes choses compter sur vous. | Je me réjouis de pouvoir compter sur vous en toutes choses. |
n° | Ostervald 1996 | Martin 1744 | Sacy 1759 | Fillion 1904 | Crampon 1923 | Pirot Clamer |
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