Table des matières de Job
Bible Fillion
Origine de Job.
Sa vertu, ses richesses.
Dieu permet au démon de le tenter.
Job perd ses biens et ses enfants.
Job est frappé d’une plaie horrible.
Sa femme lui (l’) insulte.
Trois amis, venus pour le consoler, restent auprès de lui sans lui parler.
Job maudit le jour de sa naissance, et déplore sa misère.
Eliphaz accuse Job d’impatience.
Il soutient que l’homme ne peut être affligé que pour ses péchés, et que Job ne doit pas se croire innocent devant Dieu.
Eliphaz soutient que la prospérité des impies est toujours promptement dissipée.
Il exhorte Job à recourir à Dieu par la pénitence.
Job justifie ses plaintes.
Il souhaite de mourir, de peur de perdre la patience.
Il reproche à ses amis l’injustice de leurs accusations.
Maux communs à tous les hommes.
Job représente au Seigneur sa misère et sa faiblesse, et le supplie de lui pardonner son péché.
Baldad soutient que les malheurs de Job sont la peine de ses péchés.
Il traite d’hypocrisie la vertu de Job, et l’exhorte à recourir à Dieu.
Job reconnaît que Dieu est infiniment juste dans ses jugements.
Il relève la sagesse et la puissance du Seigneur.
Il s’abaisse et se confond devant lui.
Il le supplie de lui donner quelque relâche.
Job adresse ses plaintes à Dieu.
Il s’humilie devant lui, et le supplie de lui accorder quelque relâche avant la mort.
Sophar accuse Job de présomption et d’orgueil, et l’exhorte à se convertir au Seigneur.
Job reproche à ses amis la fausse confiance qu’ils ont dans leurs lumières.
Il relève la souveraine puissance de Dieu.
Job continue de se défendre contre les reproches de ses amis.
Il témoigne sa confiance en Dieu, et il lui adresse ses plaintes.
Job expose la brièveté de la vie et les misères de l’homme sur la terre, et il se console par l’espérance de la résurrection.
Eliphaz accuse Job d’imiter les blasphémateurs, et soutient que les méchants sont sans cesse tourmentés dans cette vie.
Job se plaint de la dureté de ses amis.
Il expose ses maux et met sa confiance en Dieu, qui est témoin de son innocence.
Job se plaint des insultes de ses amis, et les exhorte à rentrer en eux-mêmes.
Baldad accuse Job de désespoir, et exagère les malheurs et la mauvaise fin des méchants.
Job se plaint de la dureté de ses amis.
Il expose ses peines, et se console par l’espérance de la résurrection.
Sophar continue de décrire les châtiments dont Dieu punit les impies.
Job soutient que les impies jouissent souvent d’une longue prospérité, et que c’est après leur mort que Dieu exerce contre eux ses vengeances.
Eliphaz reproche à Job les crimes dont il le suppose coupable, et il l’exhorte à se convertir au Seigneur.
Job souhaite de pouvoir se présenter au tribunal de Dieu, et d’y paraître soutenu par le Médiateur en qui il espère.
Il est touché de confiance, de crainte et de reconnaissance.
Job soutient que le crime est souvent impuni en ce monde, parce que Dieu en réserve ordinairement la vengeance après cette vie.
Baldad soutient que l’homme ne peut, sans présomption, prétendre se justifier devant Dieu.
Job relève la grandeur et la puissance de Dieu.
Job persiste à soutenir son innocence.
Il expose les malheurs qui menacent l’hypocrite et l’impie.
Job recherche l’origine, le principe et la source de la sagesse.
Job fait la description de son premier état.
Job décrit l’état où il est tombé.
Job se justifie devant ses amis en leur exposant le détail de la conduite qu’il a tenue dans le temps de sa prospérité.
Les paroles de Job sont finies.
Eliu accuse ses amis de manquer de sagesse, et relève sa propre suffisance.
Eliu accuse Job de s’être élevé contre Dieu, et d’abuser des différentes voies dont Dieu se sert pour reprendre les hommes.
Eliu accuse Job de blasphème.
Il relève la justice infinie de Dieu, sa puissance et ses lumières.
Eliu continue de calomnier Job.
Il soutient que c’est pour l’avantage même des hommes que Dieu est attentif à récompenser le bien et à punir le mal.
Il exhorte Job à prévenir la sévérité de la justice de Dieu.
Eliu continue à défendre l’équité des jugements de Dieu.
Il exhorte Job à profiter des peines dont Dieu l’a châtié, et relève la puissance du Seigneur.
Eliu continue de décrire les effets de la puissance et de la sagesse de Dieu.
Le Seigneur montre à Job la distance qu’il y a entre la créature et le Créateur.
Le Seigneur continue de montrer à Job la distance qu’il y a de la créature au Créateur.
Job reconnaît sa bassesse et se condamne au silence.
Le Seigneur continue de montrer à Job la distance qu’il y a de la créature au Créateur.
Description de Béhémoth et de Léviathan.
Suite de la description de Léviathan.
Job s’humilie devant le Seigneur, qui reprend ses trois amis.
Job prie pour eux.
Rétablissement de Job.
Sa mort.